Dans un monde de plus en plus digitalisé, les entreprises cherchent à se démarquer.  Parmi les outils émergents, les cryptomonnaies et la technologie blockchain s’imposent comme des leviers d’innovation majeurs. Au-delà d’un simple effet de mode, leur intégration stratégique permet d’enrichir les parcours clients, d’optimiser la transparence et de renforcer l’image de marque.

Tour d’horizon des opportunités offertes par ces technologies pour se démarquer dans l’univers numérique.

Transparence, confiance et engagement : les atouts clés de la blockchain

À l’heure où la transparence et la proximité deviennent des valeurs centrales pour les consommateurs, la blockchain offre aux marques de nouvelles façons d’inspirer confiance. Entre traçabilité, automatisation et expériences clients immersives, cette technologie redéfinit les standards de l’engagement et du lien entre l’entreprise et sa communauté.

Renforcer la traçabilité et la crédibilité grâce à la blockchain

La blockchain offre un registre infalsifiable, transparent et décentralisé. Pour les entreprises, cela représente une opportunité précieuse : prouver l’origine des produits, leur impact environnemental ou leurs certifications devient simple et vérifiable.

Un exemple parlant : une marque textile peut tracer l’ensemble de sa chaîne de production, du champ de coton au client final. Les smart contracts, quant à eux, permettent d’automatiser certaines étapes, comme l’émission de certificats de durabilité dès que des conditions précises sont remplies. Ces preuves tangibles nourrissent un storytelling authentique et valorisent l’engagement éthique d’une marque.

Créer des expériences de marque immersives via la tokenisation

Les tokens numériques et les NFT (jetons non fongibles) représentent de puissants outils pour animer une communauté et renforcer le sentiment d’appartenance. En proposant des objets numériques en série limitée ou liés à des avantages exclusifs, les marques créent de la rareté et de l’attachement.

Par exemple, une chaîne hôtelière peut distribuer 500 NFT donnant droit à des prestations privilégiées, ou un média récompenser ses utilisateurs actifs avec des tokens. Des plateformes comme Bitvavo facilitent la mise en œuvre de ces initiatives, qui s’inscrivent dans une logique durable d’engagement client.

Paiements en crypto : flexibilité et différenciation

L’acceptation de paiements en cryptomonnaie n’est plus réservée aux pionniers du Web3. Elle constitue un avantage opérationnel concret : transactions instantanées, fonctionnement 24/7, frais réduits, et accessibilité renforcée dans les zones où les infrastructures bancaires sont limitées.

Proposer ce type de paiement envoie également un message fort : l’entreprise se positionne comme moderne, accessible et à l’écoute des nouvelles générations de consommateurs.

Se positionner comme acteur du changement

Adopter la blockchain et la crypto ne se limite pas à un effet de nouveauté : c’est un acte stratégique qui renforce l’image d’une entreprise innovante. En intégrant ces technologies à différents niveaux — traçabilité, paiement, fidélisation — les marques deviennent des exemples à suivre pour les autres acteurs du marché.

Voici une feuille de route pour débuter :

  1. Analyser : identifier les cas d’usage pertinents (paiements, programmes de fidélité, logistique).
  2. Planifier : intégrer la crypto dans le parcours client existant.
  3. Implémenter : choisir les bons partenaires technologiques.
  4. Communiquer : sensibiliser et accompagner la communauté avec des contenus pédagogiques.
  5. Étendre : élargir progressivement les usages (NFT, staking, DAO, etc.).

Une nouvelle ère pour le branding digital

La cryptomonnaie et la blockchain ouvrent de nouvelles perspectives pour les marques audacieuses. En intégrant ces technologies de manière réfléchie et progressive, les entreprises modernisent leur image, fidélisent leur audience et s’inscrivent dans une dynamique d’avenir.

Le moment est venu d’agir. Intégrer la crypto à votre stratégie numérique, c’est non seulement gagner en performance, mais aussi affirmer votre pertinence dans un écosystème en pleine mutation.

Dans un univers digital ultra-concurrentiel, l’email marketing reste l’un des outils les plus puissants pour booster les ventes et fidéliser. Découvrez comment concevoir une campagne emailing performante, de la captation d’inscrits qualifiés à l’optimisation des résultats, en passant par la rédaction d’emails réellement engageants.

Pourquoi l’email marketing reste un levier essentiel pour le e-commerce

Dans un environnement digital saturé de contenus, l’email marketing reste l’un des canaux les plus performants pour générer des ventes et fidéliser les clients, en particulier dans le secteur du e-commerce. Son principal atout réside dans son retour sur investissement (ROI) : selon plusieurs études récentes, chaque euro investi en email marketing peut générer jusqu’à 38 € de revenus1. Peu de leviers digitaux offrent une telle rentabilité. Si vous souhaitez approfondir vos connaissances sur le sujet ou vous former au marketing digital, vous pouvez en savoir plus sur les parcours proposés dans ce domaine.

L’email est également un canal direct : il permet de toucher un client sans passer par un algorithme ou une plateforme tierce, contrairement aux réseaux sociaux dont la portée organique diminue. Une campagne emailing bien ciblée garantit donc une visibilité bien plus stable. En comparaison, un post sur les réseaux sociaux touche en moyenne 5 à 10 % de sa base2, tandis qu’un email atteint souvent plus de 80 % des destinataires3, avec des taux de conversion emailing allant de 2 % à 5 %4, voire plus selon la segmentation et le secteur.

Autre avantage clé : la personnalisation. Grâce aux données clients, une campagne emailing peut être adaptée à chaque profil : recommandations de produits, offres exclusives, relances de panier abandonné… Par exemple, un site e-commerce de vêtements peut envoyer une sélection personnalisée en fonction des achats précédents, augmentant ainsi l’engagement et les ventes.

Construire une base de données qualifiée : le point de départ de toute campagne emailing réussie

Avant même de lancer une campagne emailing, la qualité de votre base de contacts est déterminante. Attirer des inscrits qualifiés, segmenter intelligemment et maintenir une base propre sont les fondations d’un email marketing performant. Une base bien construite garantit un meilleur taux d’ouverture et des conversions plus efficaces.

Captation d’emails : comment attirer des inscrits qualifiés

La réussite d’une campagne emailing commence par la constitution d’une base d’abonnés qualifiés. Pour cela, il est essentiel de soigner la captation d’emails dès les premiers points de contact. Des formulaires d’inscription optimisés, placés stratégiquement sur le site, en page d’accueil, sur le blog, ou au niveau du panier, par exemple, facilitent l’inscription à une newsletter. L’usage de pop-ups intelligents, déclenchés au bon moment, c’est à dire au moment de la sortie de page, en cas d’inactivité, ou en fonction du temps passé sur le site, améliore significativement le taux de conversion.

Proposer un lead magnet – comme un bon de réduction, un ebook ou un guide d’achat – incite fortement à l’inscription tout en qualifiant le contact. Il est toutefois crucial de respecter le RGPD : les formulaires doivent inclure une case à cocher non pré-cochée pour recueillir un consentement explicite. Une base propre et engagée est la clé d’un taux d’ouverture élevé, condition indispensable à la performance globale de vos campagnes.

Segmentation et nettoyage régulier de la base

Une campagne emailing efficace repose sur une base de contacts bien structurée et à jour. La segmentation permet d’envoyer des contenus ciblés en fonction du comportement ou du profil des abonnés : clients actifs, inactifs, nouveaux inscrits, abandons de panier, etc. En personnalisant la newsletter en fonction de ces segments, on augmente significativement la pertinence des messages et, par conséquent, le taux d’ouverture.

En parallèle, un nettoyage régulier de la base est indispensable. Il s’agit de supprimer ou désinscrire les adresses inactives, les doublons, ou les contacts dont les emails rebondissent. Cela permet non seulement d’améliorer la délivrabilité, mais aussi d’éviter une détérioration de la réputation de l’expéditeur. Une base propre, active et engagée constitue le socle d’une stratégie emailing performante et durable.

Rédiger des emails performants : contenu, design et call-to-action

La performance d’une newsletter repose en grande partie sur la qualité de sa rédaction et de sa présentation. Tout commence par l’objet de l’email, élément clé pour capter l’attention dès la boîte de réception. Un objet clair, concis et personnalisé augmente significativement le taux d’ouverture. Il doit susciter la curiosité sans tomber dans le piège du clic trompeur. L’ajout du prénom, d’une offre exclusive ou d’un bénéfice immédiat peut faire la différence.

Le contenu de l’email, quant à lui, doit être structuré et engageant. Privilégier un ton humain, direct, en accord avec l’identité de la marque. Le storytelling, même succinct, permet de créer une connexion émotionnelle avec le lecteur. Les blocs de texte doivent être aérés, avec des titres, des listes ou des visuels pour faciliter la lecture.

Côté design, le format doit impérativement être responsive : aujourd’hui, plus de 60 % des emails sont lus sur mobile5. Un affichage fluide sur tous les écrans garantit une meilleure expérience utilisateur et évite les pertes d’attention.

Enfin, les call-to-action (CTA) doivent être visibles, explicites et bien placés. Qu’il s’agisse d’un bouton “Découvrir l’offre” ou “Finaliser ma commande”, l’objectif est de guider le lecteur vers l’action souhaitée. Une bonne combinaison de tous ces éléments augmente significativement la conversion emailing.

Mesurer et optimiser vos campagnes emailing

Une campagne emailing ne s’arrête pas à l’envoi : sa réussite repose sur une analyse continue de la performance. Pour cela, il est essentiel de suivre des KPI, indicateurs clés de performance, afin d’ajuster vos actions et améliorer vos résultats. Les principaux à surveiller sont :

  • Taux d’ouverture : reflète l’attractivité de l’objet et de l’expéditeur,
  • Taux de clic : mesure l’intérêt pour le contenu proposé,
  • Taux de conversion emailing : indique si l’action attendue a été réalisée, qu’il s’agisse d’un achat, d’une inscription ou d’un téléchargement,
  • Taux de désinscription : alerte sur un contenu inadapté ou une fréquence trop élevée.

Pour affiner votre stratégie, l’A/B testing est un levier incontournable. Il consiste à tester deux versions d’un même email sur un échantillon de votre base, en variant des éléments tels que :

  • L’objet de l’email,
  • Le contenu : sa longueur, les visuels et la formulation,
  • Le moment de l’envoi : le jour et l’heure.

L’optimisation passe aussi par le choix du bon timing. En e-commerce, les meilleurs taux de conversion emailing sont souvent observés en milieu de semaine, le matin ou en début de soirée. Toutefois, ces données varient selon votre audience : testez et adaptez !

Grâce à une analyse régulière et des ajustements précis, votre email marketing deviendra un levier de croissance durable et performant.

 

Source :

1 – https://www.litmus.com/press/litmus-research-finds-email-marketing-roi-is-38-to-1

2 – https://addictivedigital.co.uk/the-decline-of-organic-reach-on-social-media/

3 – https://www.emailtooltester.com/en/blog/email-deliverability-statistics/

4 – https://marketinginsidergroup.com/content-marketing/email-marketing-conversion-rate-comparison/

5 – https://www.emailtooltester.com/en/blog/email-usage-statistics/

 

Créer une boutique Shopify nécessite d’anticiper l’ensemble des coûts, de la conception du site à sa maintenance. Design, personnalisation, fonctionnalités spécifiques, forfaits mensuels et charges techniques… Découvrez comment estimer précisément le budget à prévoir pour lancer, gérer et rentabiliser efficacement votre site e‑commerce.

Comprendre le coût de création d’une boutique Shopify

Le coût de création d’un site internet repose sur de nombreux critères essentiels qu’il est important de maîtriser avant de lancer son projet. Chaque élément du site e‑commerce vient influencer le tarif final, qu’il s’agisse du design visuel, du niveau de personnalisation requis ou des fonctionnalités spécifiques à implémenter. Bien identifier ces leviers permet d’ajuster son budget et d’éviter les mauvaises surprises.

Parmi les critères essentiels à prendre en compte :

  • Le choix du thème visuel : un modèle standard est généralement peu onéreux, tandis qu’une création sur mesure nécessite un investissement plus conséquent.
  • Le niveau de personnalisation du site : plus la personnalisation est poussée (identité graphique unique, fonctionnalités spécifiques), plus le coût de création augmente.
  • Les fonctionnalités spécifiques à implémenter : intégration de modes de paiement spécifiques, outil de gestion de stock avancé, localisation multilingue, etc.
  • Le volume de contenu à produire : création des fiches produits, rédaction des pages, visuels à concevoir, traduction des textes.
  • Les intégrations techniques nécessaires : connexion à un CRM, intégration de modules spécifiques (livraison, suivi de commandes, marketing), migration de données depuis un site existant.
  • Le niveau d’accompagnement requis : suivi par une agence spécialisée, recours à un freelance expert, formation de vos équipes à l’administration du site.

En ayant une idée précise de chacun de ces critères, il devient plus simple d’élaborer un budget réaliste pour la création de votre boutique Shopify tout en gardant le contrôle sur vos priorités.

Décrypter le budget nécessaire pour lancer son site Shopify

Créer une boutique en ligne nécessite de maîtriser deux grands types de coûts : d’abord les frais de conception du site, puis les charges récurrentes liées à son fonctionnement. Décryptons ensemble le budget à prévoir pour lancer et faire vivre efficacement votre site Shopify.

Les frais de mise en place : design, paramétrage et intégration

Les frais de mise en place représentent la première ligne de dépense lorsqu’on construit une boutique en ligne sur Shopify. Ils regroupent à la fois la création du site, la personnalisation du thème ainsi que le paramétrage des différentes fonctionnalités nécessaires à son bon fonctionnement. Selon vos besoins spécifiques et vos objectifs, le budget à prévoir peut varier sensiblement.

  • Tarifs de création du site : pour une boutique simple utilisant un thème prêt à l’emploi, les prix démarrent généralement autour de 1 000 à 3 000 €. Pour un site plus élaboré, réalisé par une agence spécialisée, le coût peut atteindre 5 000 à 15 000 €, voire plus, en fonction du niveau de complexité.
  • Personnalisation du thème : si un modèle standard suffit à vos besoins, la personnalisation restera limitée à quelques réglages visuels (choix des polices, des couleurs, des images) et entraînera peu de frais supplémentaires. En revanche, un design entièrement sur mesure nécessite l’intervention d’un graphiste et d’un intégrateur, avec des tarifs allant généralement de 1 000 à 5 000 €.
  • Paramétrage des fonctionnalités spécifiques : intégration de modes de paiement spécifiques, configuration du suivi des commandes, connexion à des outils marketing, paramétrage du référencement naturel (SEO)… Toutes ces opérations représentent un coût de 500 à 3 000 € selon la complexité des tâches à effectuer.

En résumé, plus vos besoins en termes de design, de personnalisation et de fonctionnalités spécifiques sont élevés, plus le coût de mise en place de votre site Shopify sera conséquent. Bien définir vos priorités ainsi que vos contraintes budgétaires est donc crucial pour atteindre vos objectifs tout en maîtrisant vos dépenses.

Les charges supplémentaires à prévoir : abonnement, applications et maintenance

Une fois le site mis en place, il est important de prévoir un budget spécifique pour toutes les charges récurrentes nécessaires à son fonctionnement et à son évolution. Au‑delà du coût initial de création, ces frais représentent un investissement à long terme pour garantir la performance, la stabilité et la sécurisation de la boutique en ligne.

  • Coût des forfaits mensuels Shopify : selon la formule choisie, le prix de l’abonnement de base varie généralement de 29 € à 299 € par mois. Les offres plus avancées (ou Shopify Plus) peuvent atteindre plus de 2 000 € mensuels pour des projets à fort volume de ventes.
  • Coût des extensions spécifiques : de nombreuses applications tierces viennent enrichir le site (gestion des avis clients, marketing par e‑mail, suivi du stock en temps réel, etc.). Leur coût mensuel est généralement compris entre 5 € et 50 € par application, selon la complexité de la solution choisie.
  • Suivi technique et mises à jour : pour garantir le bon fonctionnement du site à long terme, prévoir un budget de maintenance est indispensable. Ce dernier peut aller de 50 à 300 € par mois selon le niveau d’assistance requis (correctifs de bugs, mises à jour de sécurité, sauvegardes, optimisation des performances).

En tenant compte de l’ensemble de ces charges supplémentaires, vous aurez une vision précise du coût réel du fonctionnement de votre site Shopify. Bien anticiper ces dépenses permet de maîtriser vos marges tout en assurant la pérennité de votre activité en ligne.

Optimiser son investissement pour atteindre la rentabilité

Créer une boutique Shopify est un investissement majeur, mais cela devient une opération réellement fructueuse lorsque son coût est maîtrisé et que des leviers de croissance adaptés sont mis en place. Pour atteindre la rentabilité, il est crucial d’avoir une vision à long terme du projet et de savoir où concentrer vos ressources. Cela passe d’abord par une réflexion précise sur vos besoins essentiels : plutôt que de multiplier les fonctionnalités coûteuses, mieux vaut débuter avec une version maîtrisée du site, performante et professionnelle, avant d’ajouter des améliorations spécifiques selon l’évolution de vos ventes.

Il est également important de mesurer régulièrement vos performances grâce aux outils d’analyse intégrés à Shopify. Suivre vos taux de conversion, identifier vos best‑sellers et comprendre le comportement de vos clients permet d’ajuster vos campagnes marketing ainsi que vos choix stratégiques. Parallèlement, prévoir un budget de maintenance maîtrisé permet d’assurer la stabilité du site tout en gardant une marge de manœuvre pour investir dans de nouvelles fonctionnalités à forte valeur ajoutée.

Enfin, la rentabilisation repose sur la capacité à construire une expérience utilisateur attractive, à proposer une offre différenciante et à investir intelligemment dans des leviers tels que le référencement naturel, la publicité ciblée ou le marketing par e‑mail. En gardant un équilibre entre contrôle des coûts et anticipation des opportunités de croissance, vous aurez toutes les cartes en main pour bâtir une boutique en ligne à la fois performante et durable.

La digitalisation transforme en profondeur le fonctionnement des entreprises. Les innovations numériques redéfinissent les pratiques, avec l’automatisation des tâches et l’utilisation des outils collaboratifs. La mutation ne se limite pas à la technologie. Elle touche aussi les modes de travail, la relation client et la stratégie globale. Quels sont donc les enjeux clés de la digitalisation pour les entreprises de demain ? Voici cinq points essentiels qui permettent de décrypter ce sujet.

Les atouts de la digitalisation en entreprise

Une fois bien implanté, le numérique peut offrir de nombreux avantages. Il permet notamment de prendre des décisions avec plus de précision grâce à la collecte de données notamment, mais aussi d’offrir une meilleure expérience client.

Une meilleure efficacité grâce aux outils numériques

La digitalisation permet d’automatiser de nombreuses tâches répétitives. En confiant ces actions à des logiciels performants, les entreprises gagnent un temps précieux. Les collaborateurs peuvent alors se concentrer sur des missions à forte valeur ajoutée comme la relation client ou l’innovation. Les outils numériques facilitent aussi la gestion de projet, avec des plateformes de collaboration qui permettent un suivi en temps réel. L’accès à des données précises permet une prise de décision plus rapide et plus fiable. Ces gains de productivité ne sont plus un luxe, mais une nécessité dans un monde dans lequel tout s’accélère.

L’expérience client au cœur de la stratégie

Le digital a profondément modifié les attentes des consommateurs. Ils veulent des réponses rapides, des services personnalisés et une expérience fluide, quel que soit le canal utilisé. Les entreprises doivent donc repenser leur parcours client pour intégrer ces nouvelles exigences. Grâce aux données collectées, il est désormais possible d’anticiper les besoins, d’envoyer des offres ciblées ou d’améliorer le service après-vente. Les chatbots, les CRM ou les outils d’analyse comportementale sont devenus des alliés puissants.
Mais attention : les avantages et inconvénients de la digitalisation sont à considérer au même titre. La digitalisation ne doit pas déshumaniser la relation. L’humain reste central, surtout pour gérer les situations complexes ou sensibles. L’enjeu est donc de trouver le bon équilibre entre automatisation et personnalisation. Une stratégie digitale réussie est celle qui place le client au centre de toutes les décisions, en alliant efficacité et écoute.

La sécurité des données : un enjeu majeur

Avec la digitalisation, les volumes de données collectées explosent. Les informations clients, les données financières et les documents internes sont précieux, mais aussi vulnérables. Les cyberattaques se multiplient et peuvent coûter très cher à une entreprise, autant sur le plan financier qu’en ce qui concerne la réputation. Il est donc indispensable d’investir dans des solutions de cybersécurité : pare-feux, antivirus, protocoles de sauvegarde et formation des équipes.
La mise en conformité avec le RGPD est également incontournable, sous peine de sanctions. Plus la digitalisation avance, plus le système d’information devient critique. Pour anticiper les risques, certaines entreprises recrutent même des experts en cybersécurité ou externalisent cette fonction.

L’importance de repenser le travail et les compétences

Avec le télétravail, les réunions à distance et les outils collaboratifs, les frontières entre bureau et domicile s’estompent. Cette flexibilité séduit, mais elle exige aussi une nouvelle organisation. Il faut apprendre à manager à distance, à maintenir la cohésion d’équipe et à mesurer la performance autrement.
En parallèle, les compétences attendues évoluent. La maîtrise des outils digitaux devient incontournable, quel que soit le métier. Cela implique un investissement dans la formation continue, pour permettre à chacun de monter en compétences. De nouveaux profils comme les data analysts, développeurs, experts UX apparaissent aussi. Pour rester compétitives, les entreprises doivent anticiper ces évolutions et adapter leur politique RH.

L’innovation pour rester compétitif

À l’instar des startups qui misent sur la rapidité, l’agilité et l’expérience utilisateur, les grandes entreprises doivent aussi se réinventer. Cela passe par une veille technologique active, des partenariats avec des acteurs innovants, ou encore la mise en place de laboratoires d’expérimentation internes. Mais innover demande aussi de l’audace : accepter l’échec, tester rapidement et ajuster. Dans un monde en mutation permanente, l’innovation n’est plus une option. Elle devient une condition de survie et un puissant moteur de croissance.

Dans un environnement digital où capter l’attention et convertir rapidement sont devenus essentiels, la landing page s’impose comme un outil stratégique incontournable. Bien conçue, elle permet de transformer un simple clic en action concrète. Objectifs clairs, message ciblé, design soigné : découvrez comment créer une landing page performante, orientée conversion.

À quoi sert une landing page ?

La création d’une landing page est différentes de la création d’un site internet. Si ces deux types de supports peuvent être conçus en totale indépendance ou bien accompagnés par une agence comme Wavesagency, ils ont des objectifs bien différents. Une landing page, ou page d’atterrissage, est une page web conçue pour convertir les visiteurs en leads ou clients, en se concentrant sur un objectif unique. Contrairement à un site internet complet qui présente différentes sections (à propos, services, blog, contact…), la landing page est centrée sur une seule action : remplir un formulaire, télécharger un livre blanc, s’inscrire à une newsletter ou acheter un produit. Elle est particulièrement utilisée dans les campagnes de marketing digital, lorsqu’on souhaite optimiser le taux de conversion.

Voici ce qui distingue une landing page efficace :

  • Un message clair et ciblé, adapté à une audience précise
  • Un design épuré pour éviter toute distraction
  • Un appel à l’action (CTA) visible et convaincant
  • Des éléments de réassurance (avis clients, garanties, témoignages)

L’avantage principal d’une landing page est sa simplicité stratégique : en limitant les choix possibles, elle guide l’utilisateur vers une décision rapide. Elle ne remplace pas un site internet, mais le complète en servant de point d’entrée dédié dans un tunnel de conversion. Pour toute entreprise souhaitant générer des résultats concrets à partir d’un trafic ciblé, la landing page est un outil indispensable.

Définir l’objectif et le message clé de votre landing page

Créer une landing page efficace commence par une étape essentielle : définir un objectif clair. Chaque page d’atterrissage doit répondre à une finalité unique, qu’il s’agisse de générer des leads, de vendre un produit, de promouvoir un service, ou de recueillir des inscriptions à un événement ou une newsletter. Cet objectif précis guide toute la conception de la page, de sa structure à son contenu. Il permet aussi d’éviter la dispersion et d’optimiser le taux de conversion.

Une fois l’objectif défini, il est crucial de formuler un message clé percutant. Ce message doit immédiatement capter l’attention du visiteur, répondre à ses attentes et le convaincre d’agir. Pour cela, il doit être :

  • Simple, pour être compris en quelques secondes
  • Ciblé, en fonction du public visé
  • Orienté bénéfices, pour valoriser ce que l’utilisateur va gagner

Ce message s’exprime à travers le titre principal, le sous-titre, et le contenu d’accroche, en lien direct avec l’appel à l’action (CTA). Une bonne cohérence entre objectif et message augmente la pertinence de la page et améliore considérablement l’expérience utilisateur. Une landing page bien pensée commence toujours par une intention forte et un discours clair.

Concevoir une structure de one page efficace

Concevoir une structure de one page efficace demande bien plus qu’un simple enchaînement de blocs. Il s’agit de construire un parcours cohérent, intuitif et engageant, pensé pour capter l’attention, susciter l’intérêt, et inciter à l’action. Voici les fondamentaux à maîtriser pour maximiser l’impact de votre landing page dès le premier scroll.

Les éléments essentiels d’une landing page réussie

Pour convertir efficacement vos visiteurs en prospects ou clients, une landing page doit être soigneusement conçue autour de plusieurs éléments clés. Tout commence par un titre accrocheur, clair et percutant, qui capte l’attention dès les premières secondes. Ce titre doit immédiatement faire écho au besoin ou au problème de l’utilisateur. Ensuite, les visuels attractifs jouent un rôle crucial : images de qualité, vidéos explicatives ou illustrations dynamiques permettent de renforcer le message et d’établir la crédibilité de l’offre.

Le call-to-action (CTA) est sans doute l’élément central : il doit être visible, incitatif, et positionné stratégiquement sur la page. Un bouton bien formulé comme “Demandez votre essai gratuit” ou “Téléchargez le guide maintenant” peut faire toute la différence. Pour rassurer et créer un climat de confiance, n’hésitez pas à intégrer des témoignages authentiques, des logos de partenaires ou encore des statistiques de satisfaction.

Enfin, la structure générale doit être fluide, avec une hiérarchie visuelle claire, des blocs bien définis et un design responsive. En somme, une landing page efficace est une combinaison harmonieuse de contenu pertinent, d’éléments graphiques impactants et de stratégies de conversion bien pensées.

L’importance de l’UX et du design responsive

Pour qu’une landing page atteigne ses objectifs de conversion, il est indispensable de soigner l’expérience utilisateur (UX). Une interface intuitive, fluide et centrée sur les besoins de l’utilisateur favorise l’engagement et incite à l’action. Chaque élément – du parcours de navigation au positionnement du bouton d’appel à l’action (CTA) – doit être pensé pour guider le visiteur de manière naturelle vers l’objectif souhaité : inscription, achat, prise de contact…

Le design responsive est aujourd’hui une exigence incontournable. Une landing page doit s’afficher parfaitement sur tous les écrans, qu’il s’agisse de mobiles, de tablettes ou d’ordinateurs de bureau. Cela implique une adaptation intelligente des blocs de contenu, des images optimisées pour le chargement rapide, et une hiérarchie visuelle cohérente, quel que soit le support. Un site mal adapté sur smartphone peut entraîner une chute drastique du taux de conversion.

Pour optimiser l’UX, il est également conseillé de :

  • Réduire les distractions visuelles inutiles
  • Assurer une vitesse de chargement rapide
  • Utiliser une typographie lisible et des couleurs harmonieuses

Une landing page bien conçue, qui allie ergonomie et réactivité, constitue un levier puissant pour transformer un simple visiteur en utilisateur actif.

Optimiser et tester la landing page

Créer une landing page efficace ne s’arrête pas à sa mise en ligne. Pour améliorer durablement les performances et maximiser le taux de conversion, l’optimisation continue est essentielle. Cela passe par la mise en place d’outils d’analyse comportementale (comme Google Analytics ou Hotjar) permettant d’observer comment les visiteurs interagissent avec la page : où ils cliquent, où ils décrochent, combien de temps ils restent. Ces données sont précieuses pour détecter les points de friction et ajuster les éléments qui nuisent à l’efficacité de la page.

L’A/B testing est l’une des méthodes les plus puissantes pour affiner une landing page. Il consiste à tester plusieurs variantes d’un même élément (titre, call-to-action, visuel, formulaire…) auprès d’échantillons d’utilisateurs afin d’identifier ce qui génère le plus d’engagement. Par exemple, changer la couleur d’un bouton ou reformuler une accroche peut avoir un impact significatif sur la conversion.

Pour des résultats durables, il est conseillé de :

  • Suivre des indicateurs clés comme le taux de rebond ou le coût par conversion
  • Tester une modification à la fois pour mieux en mesurer l’impact
  • Conserver une version stable et performante comme référence

L’analyse et les tests sont donc au cœur d’une stratégie d’optimisation réussie.

Lancer une stratégie pluri-média réussie est essentiel pour maximiser la visibilité et l’impact d’une campagne de communication. Cette approche consiste à diffuser un message cohérent sur différents canaux (TV, radio, presse, digital, réseaux sociaux) afin de toucher une audience large et diversifiée. Mais comment construire une stratégie efficace ? Découvrez les étapes clés pour réussir.

Comprendre les fondamentaux d’une stratégie pluri-média

Une stratégie pluri-média consiste à utiliser plusieurs canaux de communication tels que la télévision, la radio, la presse, le digital, les réseaux sociaux, etc. pour diffuser un message cohérent et atteindre une audience diversifiée. L’objectif est d’optimiser la visibilité d’une marque ou d’une entreprise en exploitant les forces spécifiques de chaque média. Cette approche parfois conseillée par des agences de conseil telles que Good Buy Média permet de maximiser l’impact de la communication en multipliant les points de contact avec le public.

Pourquoi adopter une stratégie pluri-média ?

  • Augmenter la portée : chaque média touche une audience différente, ce qui permet de maximiser la diffusion du message.
  • Renforcer la mémorisation : la répétition du message sur divers supports favorise sa mémorisation par le public.
  • S’adapter aux comportements des consommateurs : chaque individu consomme l’information via des canaux variés.
  • Optimiser les performances : en combinant plusieurs médias, il est possible de mieux mesurer les retombées et d’ajuster les campagnes en conséquence.
  • Créer une communication cohérente : une stratégie bien pensée garantit une image de marque homogène sur l’ensemble des supports.

En résumé, une stratégie pluri-média bien construite permet d’amplifier l’impact de la communication et de mieux atteindre ses objectifs marketing.

Les étapes clés pour construire une stratégie pluri-média réussie

Une stratégie bien construite garantit que le bon message atteindra la bonne audience, au bon moment et sur le bon média. Afin d’élaborer une stratégie de communication pluri-média, il est essentiel de définir des objectifs clairs, mais également une cible précise. Cela permettra ensuite de choisir les bons canaux de diffusion.

Définir ses objectifs et sa cible

Définir clairement les objectifs et la cible d’une campagne pluri-média est une étape essentielle pour assurer son efficacité. Sans objectifs précis, il devient difficile de mesurer les résultats et d’ajuster les actions. Ces objectifs peuvent être variés : augmenter la notoriété de la marque, générer des ventes, acquérir de nouveaux clients ou fidéliser une audience existante. Des objectifs bien définis permettent de structurer la stratégie et de sélectionner les médias les plus adaptés.

Par ailleurs, connaître en profondeur son public cible est tout aussi crucial. Cela implique d’identifier les caractéristiques démographiques (âge, sexe, localisation), les centres d’intérêt, les habitudes de consommation et les canaux de communication privilégiés par cette audience. Cette analyse permet de personnaliser les messages et de choisir les supports les plus pertinents.

Pourquoi cette étape est-elle indispensable ?

  • Optimiser l’impact en diffusant le bon message, au bon moment et sur le bon canal.
  • Maximiser le retour sur investissement en évitant les dépenses inutiles sur des médias inadaptés.
  • Renforcer l’engagement en proposant des contenus alignés avec les attentes du public.

En résumé, définir ses objectifs et sa cible garantit une stratégie cohérente et performante, en phase avec les besoins du marché.

Sélectionner les bons canaux de diffusion

Le choix des canaux de diffusion est une étape stratégique pour maximiser l’efficacité d’une campagne pluri-média. Chaque support – télévision, radio, presse, digital, réseaux sociaux – possède ses spécificités et touche des audiences différentes. Sélectionner les bons canaux permet de diffuser le message auprès du public cible tout en optimisant le retour sur investissement.

Pour choisir les canaux les plus pertinents, il est essentiel de prendre en compte plusieurs critères :

  • Les objectifs de la campagne : pour renforcer la notoriété, des médias de masse comme la TV ou la radio peuvent être efficaces. Pour générer des ventes directes, les réseaux sociaux ou les campagnes emailing seront plus adaptés.
  • Les caractéristiques de la cible : il est crucial de connaître les habitudes de consommation des médias de votre audience. Par exemple, les jeunes générations privilégient les réseaux sociaux, tandis que les professionnels peuvent être plus réceptifs aux newsletters ou à la presse spécialisée.
  • Le budget disponible : les médias traditionnels comme la télévision ou la presse papier nécessitent des investissements plus conséquents, contrairement aux campagnes digitales, souvent plus accessibles.

En combinant ces éléments, il est possible de construire une stratégie de diffusion cohérente, qui maximise l’impact tout en respectant les contraintes budgétaires.

Mesurer et optimiser l’efficacité de sa stratégie pluri-média

Une fois la stratégie pluri-média déployée, il est essentiel de mesurer ses performances pour en évaluer l’efficacité. Cette analyse permet de vérifier si les objectifs fixés (notoriété, engagement, conversion) sont atteints et d’identifier les points forts et les axes d’amélioration. Pour cela, il est important de définir en amont des indicateurs clés de performance (KPI) adaptés à chaque canal : taux de clics, impressions, taux d’engagement sur les réseaux sociaux, trafic web, retour sur investissement publicitaire, etc.

L’analyse des données permet ensuite de réaliser des ajustements stratégiques. Par exemple, si une campagne sur les réseaux sociaux génère peu d’interactions, il peut être nécessaire de revoir le contenu ou le ciblage. À l’inverse, si une publicité radio montre de bons résultats, il peut être judicieux d’augmenter les investissements sur ce canal.

L’optimisation continue est donc essentielle pour améliorer l’efficacité des actions, maximiser le budget et garantir que le message reste pertinent. En adoptant cette approche analytique et flexible, les entreprises peuvent affiner leur stratégie et renforcer l’impact de leurs campagnes pluri-médias.

 

Dans un monde où le numérique occupe une place centrale, maîtriser les outils du marketing digital est devenu indispensable pour toute entreprise ou tout individu souhaitant développer sa visibilité en ligne. Que vous soyez entrepreneur, salarié ou en reconversion, trouver une formation adaptée est la clé pour acquérir des compétences stratégiques et rester compétitif sur le marché.

Pourquoi suivre une formation en marketing digital ?

Suivre une formation en marketing digital est essentiel pour évoluer dans un environnement professionnel en constante mutation. Le numérique transforme les habitudes de consommation et les stratégies des entreprises, rendant indispensable la maîtrise des outils digitaux. Une formation permet d’acquérir des compétences clés, comme :

  • Le référencement (SEO),
  • La gestion des réseaux sociaux,
  • L’emailing,
  • L’analyse de données,
  • Etc.

Elle offre également une meilleure compréhension des attentes des consommateurs en ligne et des tendances du marché. Enfin, se former en marketing digital renforce l’employabilité, ouvre de nouvelles opportunités professionnelles et permet de rester compétitif face aux évolutions technologiques.

Les différentes formations en marketing digital ?

Vous pouvez trouver de nombreuses entreprises en ligne qui vous accompagnent dans votre formation en marketing digital tel que Experiens 360, Blue Marketing, Digitall Conseil, Digital Keys ou encore 1789.fr.

Experiens 360

La formation en marketing digital proposée par Experiens 360 offre un programme complet pour maîtriser les leviers essentiels du marketing numérique. Destinée aux entrepreneurs, salariés ou curieux, elle couvre des compétences clés telles que le SEO/SEA, le content marketing, le community management, l’emailing, le web analytics, et la publicité en ligne. Les formats sont flexibles, en présentiel ou à distance, et adaptés à tous les niveaux, de quelques jours à plusieurs mois. Experiens 360 met l’accent sur la pratique et la personnalisation, avec des formations éligibles au CPF. Elle accompagne aussi les participants dans le financement et l’application concrète des compétences acquises.

Blue Marketing

La formation en marketing digital proposée par Blue Marketing est conçue pour accompagner les entreprises, quels que soient leur taille et leur secteur, dans l’élaboration d’une stratégie digitale performante. Elle couvre des compétences clés comme l’audit digital, le benchmark concurrentiel, la création de personas, la définition d’une stratégie et la mise en œuvre d’un plan d’action opérationnel. Disponible en présentiel (21 heures sur 3 jours) ou en distanciel (11 sessions de 2 heures), la formation est personnalisable et certifiée Qualiopi, avec des options de financement via l’OPCO/FNE. Elle s’adresse aux professionnels souhaitant optimiser leur présence en ligne.

Digitall Conseil

La formation en marketing digital de Digitall Conseil, certifiée Qualiopi, est conçue pour accompagner les entreprises dans leur transformation numérique. Elle propose des formats flexibles : intra-entreprise, inter-entreprise et sur-mesure, en présentiel à Bordeaux ou à distance. Le programme couvre des compétences stratégiques et opérationnelles, incluant le référencement naturel (SEO), la gestion des réseaux sociaux et la stratégie digitale. L’approche pédagogique se base sur plus de 10 ans d’expérience avec un suivi individualisé et des ateliers de co-création pour une mise en pratique immédiate. La formation est éligible au financement par l’OPCO.

Digital Keys

La formation en marketing digital proposée par Digital Keys est conçue sur mesure pour répondre aux besoins spécifiques des entreprises. Certifiée Qualiopi et référencée DataDock, elle est éligible à une prise en charge par l’OPCO. Le programme couvre des domaines clés tels que le SEO, SEA (Google Ads), content marketing, social ads, UX, CRM emailing et le RGPD. L’approche pédagogique est interactive, favorisant l’échange et la pratique pour une meilleure compréhension des stratégies digitales. Les formations visent à renforcer les compétences des équipes, à les rendre plus autonomes et à accélérer la performance business des entreprises.

1789.fr

La formation en marketing digital de 1789.fr permet d’élaborer et de piloter une stratégie digitale performante, en lien avec la stratégie marketing globale de l’entreprise. Dispensée en présentiel ou à distance, elle couvre des thématiques essentielles : analyse concurrentielle, définition des personas, leviers d’acquisition (SEO, SEA, réseaux sociaux) et évaluation des performances via Google Analytics. Destinée aux professionnels du marketing, la formation alterne théorie, cas pratiques et mises en situation. Certifiée Qualiopi, elle est éligible aux financements OPCO. L’approche pédagogique est interactive, avec des supports remis aux participants et des options de suivi post-formation.

Comment choisir sa formation en marketing digital ?

Pour bien choisir sa formation en marketing digital, plusieurs critères sont à prendre en compte :

  • Définir ses objectifs professionnels : identifier les compétences spécifiques que l’on souhaite développer (SEO, réseaux sociaux, publicité en ligne, etc.).
  • Analyser le contenu du programme : s’assurer qu’il couvre les fondamentaux du marketing digital et les domaines les plus pertinents pour son projet.
  • Choisir le bon format : opter pour une formation en ligne, en présentiel ou hybride, selon ses disponibilités et son mode d’apprentissage préféré.
  • Consulter les avis d’anciens participants : recueillir des retours d’expérience pour évaluer la qualité de la formation.

En prenant en compte ces éléments, il sera plus facile de sélectionner une formation adaptée et efficace.

Dans un monde où les données sont au cœur des décisions stratégiques, le data management est devenu un enjeu clé pour les organisations. Structurer, sécuriser et exploiter efficacement ces informations permet d’optimiser la performance, d’améliorer la prise de décision et de renforcer la compétitivité. Mais quels sont exactement les enjeux du data management et pourquoi est-il devenu indispensable ?

Qu’est-ce que le data management ?

Le data management ou gestion des données est un véritable enjeu aujourd’hui. Si bien qu’il fait l’objet de nombreux programmes de formation et master data management. Pour comprendre la problématique qui entoure les data, commençons par définir ce qu’est le data management.

Data management : définition

Le data management, ou gestion des données, regroupe l’ensemble des processus, outils et bonnes pratiques permettant de gérer et d’exploiter les données au sein d’une entreprise et de son écosystème. Il englobe plusieurs étapes essentielles :

  • Collecte des données,
  • Stockage sécurisé,
  • Structuration et organisation,
  • Sécurisation pour assurer la confidentialité,
  • Analyse des informations,
  • Exploitation pour la prise de décision et l’innovation.

L’objectif du data management est d’assurer la qualité, l’intégrité et la disponibilité des données, garantissant ainsi leur fiabilité et leur valeur stratégique pour les organisations. Une gestion efficace des données permet d’optimiser les performances, d’améliorer la conformité réglementaire et de renforcer l’avantage concurrentiel des entreprises.

L’intérêt du data management

Le data management connaît un essor considérable ces dernières années en raison de l’explosion du volume des données et de leur circulation toujours plus rapide. Face à cette surabondance d’informations, il devient essentiel de trier, structurer et exploiter les données afin d’identifier celles qui ont une réelle valeur stratégique pour l’entreprise.

Une gestion efficace des données permet aux organisations de les transformer en un actif clé, facilitant ainsi la prise de décisions éclairées dans plusieurs domaines :

  • Optimisation de l’expérience client et des campagnes marketing,
  • Détection des fraudes et anticipation des tendances d’investissement,
  • Gestion des stocks et suivi logistique en temps réel,
  • Recrutement ciblé et mesure de la satisfaction des employés,
  • Maintien de la compétitivité et stimulation de l’innovation.

Indispensables pour la prise de décision stratégique, les données doivent être collectées, sécurisées et analysées afin d’aider les entreprises à rester compétitives et à se développer durablement. Dans ce contexte, le data manager joue un rôle central en orchestrant la gouvernance et la valorisation des données.

Les missions du data manager

Pour la plupart des entreprises disposant d’une présence en ligne, la collecte, la sécurisation et l’optimisation des données sont devenues des enjeux stratégiques majeurs. Dans un monde où les informations circulent à grande vitesse et où les volumes de données ne cessent d’augmenter, il est essentiel de les organiser et d’en tirer de la valeur.

C’est dans ce contexte qu’intervient le data manager, un acteur clé chargé de structurer, sécuriser et exploiter ces données afin d’en faire un levier de performance pour l’entreprise. Grâce à une gestion rigoureuse, les données deviennent un atout stratégique, facilitant la prise de décision et l’innovation.

Structurer et sécuriser l’information

Le data manager joue un rôle clé dans la structuration et la sécurisation des données au sein d’une organisation. Sa mission consiste d’abord à organiser les données de manière cohérente, en définissant des standards et des modèles adaptés aux besoins de l’entreprise. Il met en place une architecture des données efficace, assurant une classification claire et une accessibilité optimisée pour les différents utilisateurs autorisés à consulter ces data.

En parallèle, il garantit la sécurité des informations en appliquant des politiques strictes de protection des données. Cela inclut le chiffrement, la gestion des accès, la prévention des fuites et la conformité aux réglementations comme le RGPD ou la LOPD. Il collabore avec les équipes IT et cybersécurité pour anticiper les risques et renforcer la résilience face aux cyberattaques.

Grâce à cette double approche mêlant structuration et sécurisation, le data manager assure la fiabilité, l’intégrité et la protection des données, des éléments essentiels pour une prise de décision éclairée et conforme aux exigences légales.

Garantir des informations fiables et exploitables

Le data manager a pour mission de garantir des informations fiables et exploitables, essentielles à la prise de décision et à la performance de l’entreprise. Pour cela, il met en place des processus rigoureux de contrôle de qualité des données, incluant la détection et la correction des erreurs (données incomplètes, doublons, incohérences). Il veille également à la normalisation et à l’harmonisation des données pour assurer leur cohérence entre les différents systèmes d’information.

En plus d’assurer la fiabilité, le data manager travaille sur l’accessibilité et la structuration des données afin qu’elles puissent être facilement exploitées par les équipes métier et les outils analytiques. Il s’appuie sur des technologies telles que le Master Data Management (MDM) et le Data Cleansing pour enrichir et fiabiliser les bases de données.

Grâce à cette approche, l’entreprise bénéficie de données précises, à jour et exploitables, un levier stratégique pour optimiser les analyses et améliorer la prise de décision.

Les outils et technologies du Data Management

Le data manager s’appuie sur une variété d’outils spécialisés pour assurer la gestion, la qualité et l’exploitation des données. Parmi eux, on retrouve les bases de données relationnelles (SQL Server, MySQL, PostgreSQL) et les Data Warehouses (Snowflake, Google BigQuery, Amazon Redshift), qui permettent de stocker et d’organiser les informations de manière structurée. Il utilise également des solutions de gestion et d’intégration des données comme Talend, Apache NiFi ou Informatica pour assurer la collecte et la transformation des données en temps réel.

Pour garantir la qualité des données, il recourt à des outils de Data Cleansing et de Master Data Management (MDM) tels que IBM Infosphere ou SAP MDG. Enfin, pour l’analyse et la visualisation des données, des plateformes comme Tableau, Power BI ou Looker facilitent l’interprétation des informations et la prise de décision. Grâce à ces technologies, le data manager structure, sécurise et valorise les données au service de l’entreprise.

La création d’un site internet peut être indispensable à l’activité d’une entreprise. Cependant, le succès et l’impact d’un site internet sur votre société peuvent dépendre d’une multiplicité de critères. Un tel projet exigera notamment une planification minutieuse, et une conception bien pensée. Pour vous aider à concevoir un site web de qualité, nous vous présentons aujourd’hui les principales étapes de création d’un site web.

Pourquoi bien préparer la création d’un site internet ?

S’il est évident qu’un site internet peut accompagner l’activité d’une entreprise, il reste important de comprendre que l’intérêt d’un tel canal de communication dépendra de sa qualité de conception.

Avant même de contacter une agence digitale ou un professionnel de la création de sites web, il peut être intéressant d’anticiper les différentes étapes de conception de votre projet.

Bien vous renseigner sur les étapes de création d’un site internet d’entreprise vous assurera la création d’un site web :

  • Correctement conçu,
  • Adapté à votre entreprise,
  • Qui répond à vos problématiques et à vos objectifs,
  • Qui sera en mesure de s’adapter à vos projets futurs.

Anticiper chaque étape de cette conception vous aidera par ailleurs à aborder le projet de manière plus sérieuse, et peut vous aider à mieux le budgétiser et à éviter les mauvaises surprises.

Les étapes de création d'un site internet

Bien préparer la création d’un site web vous évitera de nombreuses erreurs, et vous assurera de meilleurs résultats pour votre site internet.

Les différentes étapes de création d’un site web

Pour vous donner une vision plus claire des principales étapes de conception de votre site internet, découvrons ensemble les principales étapes d’un tel projet web.

La réflexion autour du projet de site web

Tout entrepreneur ou particulier qui cherche à concevoir son site internet aura intérêt en premier lieu à conceptualiser le rôle et l’intérêt du site internet.

Et pour cause, il existe différents types de sites internet, et les objectifs et enjeux d’un tel projet peuvent varier considérablement en fonction de vos besoins.

Un site web peut permettre à votre entreprise de réaliser différentes actions :

  • Vendre des produits ou des services,
  • Partager du contenu,
  • Renforcer la visibilité de l’entreprise,
  • Améliorer le partage de l’information entre différents interlocuteurs,
  • Générer des contacts, etc.

L’agence OTO Digital rappelle par exemple que votre site web peut aussi bien permettre l’acquisition client qu’augmenter la visibilité de votre société sur son marché. Ces différents buts de création d’un site ne nécessitent pas les mêmes solutions et outils.

Définir l’objectif de votre site vous permet de vous orienter au tout début de la réflexion. Poser ce but vous permettra par exemple de choisir une structure plus précise du site.

En effet, un site de e-commerce qui a pour objectif de vendre n’aura pas la même architecture qu’un site conçu pour obtenir les contacts de clients, ou qu’un simple site vitrine.

Bon à savoir : cette première réflexion peut aussi guider votre budget. Si vous souhaitez simplement créer un site vitrine, sans aucun enjeu économique, vous saurez qu’il n’est pas forcément indispensable d’accorder un énorme budget à ce projet. Il en sera bien évidemment différent si le site web est censé devenir le pilier de votre activité !  

La structure du site web

Après avoir posé ses objectifs, on peut aller plus dans le détail et passer à la conception de la structure du site web.

Il peut toujours être intéressant de concevoir la structure de votre site web, que ce soit en interne ou à l’aide d’une agence spécialisée. Il s’agit notamment de lister les différentes pages qui seront présentes sur ce dernier, ou de définir une idée globale de l’apparence du futur site internet.

La structure d’un site internet sera définie par différents éléments bien précis :

  • Le menu : il doit permettre d’accéder facilement aux pages les plus importantes de votre site.
  • La hiérarchie des pages : elles doivent être classées de la manière la plus intuitive possible.
  • Les types de pages : un site peut contenir des articles de blog, des fiches produits, un compte utilisateur, un panier, etc.
  • L’expérience utilisateur (UX) : il est important d’identifier un parcours utilisateur (ou un parcours client sur un site e-commerce) pour vous assurer d’un site web fonctionnel et efficace.

Cette étape peut se traduire par la réalisation d’un wireframe, à savoir de maquettes et schémas des futures pages de votre site web. Ces éléments serviront de base au moment de créer le site web par la suite.

Lorsque vous pensez au design de votre site, il est également important de l’imaginer en version mobile. En effet, aujourd’hui la majorité des internautes naviguent depuis leur smartphone. Donc, à part si votre cible est très spécifique et ne consulte votre site internet que via un ordinateur, il est essentiel de ne pas négliger la structure de votre site version mobile.

Bon à savoir : bien évidemment, cette étape sera plus aisément prise en charge par un spécialiste de la conception de site web ou par une agence digitale. 

Structure d'un site internet

Il est intéressant de poser sur papier la future structure de votre site web. Ce travail vous permettra de donner une vision plus claire de vos besoins à d’éventuels prestataires, et vous aidera vous-même à avoir une vision cohérente du site web idéal. Bien évidemment, des spécialistes peuvent vous conseiller sur la structure optimale, en fonction de vos objectifs.

Le choix d’un CMS et les éléments techniques

Après avoir conceptualisé votre site web et préparé de premiers éléments concrets, il sera nécessaire de faire le choix d’un CMS ou d’une solution technique.

Le CMS ou « content management system » est l’outil qui vous permet de créer puis d’éditer votre site internet. Pour le choisir, il est important de connaitre en amont vos contraintes techniques.

Vous ne choisirez pas les mêmes outils pour vendre des produits ou pour générer du trafic sur votre site.

Il existe un grand nombre de CMS sur le marché. Certains vous permettent d’être autonome, d’autres nécessitent souvent l’accompagnement d’un développeur ou d’une personne ayant des compétences techniques en la matière.

On trouve de plus en plus de CMS conçus pour faciliter la création et la mise à jour des sites internet. Parmi les plus connus du marché, on retrouve notamment :

  • WordPress,
  • Shopify,
  • Wix,
  • Magento,
  • Prestashop,
  • Joomla,
  • Squarespace, etc.

Avant d’établir votre choix, il est bon de comprendre que le CMS choisi va conditionner une bonne partie de votre projet. C’est le CMS qui définira les possibilités de développement de votre site web, mais qui aura aussi un impact fort sur la facilité de mise à jour et d’évolution de ce dernier.

Il est donc bon de vous assurer de choisir d’entrée de jeu une solution adaptée, pour ne pas avoir à rétropédaler par la suite (ce qui pourrait s’avérer coûteux).

La conception de contenus et le référencement naturel

Après avoir choisi le CMS, la création de sites web à part entière pourra débuter. Il ne s’agira plus ici uniquement de conceptualiser le site internet, mais bien de le créer et de le mettre en ligne.

Pour cela, il est nécessaire de concevoir les contenus de votre site web (textes, images, vidéos), et vivement conseillé de le faire en gardant à l’esprit l’impact du référencement naturel (SEO).

Le SEO est une étape à ne pas négliger lorsque l’on souhaite créer son site internet. Pour cela, il faut identifier les mots clefs principaux qui se rapportent à la thématique de votre site. Cela peut être « électricien à Paris » ou bien « location salle de mariage ». Vous pouvez, en fonction de votre cible, associer une ville ou une région aux mots clefs principaux de votre site.

La recherche des mots clefs principaux de votre site vous permettra aussi d’utiliser les bons mots pour votre menu et de rédiger au mieux les contenus de vos pages.

Pour cette étape, vous pouvez vous aider d’outils disponibles en ligne qui vous permettront de connaitre les requêtes principales de vos prospects et clients. Une fois encore, le travail d’une agence web sera de vous accompagner dans cette étape, pour vous assurer des contenus de qualité, et optimisés pour le SEO.

Création de contenus web

La conception d’un site internet nécessite forcément des contenus (textes, images, etc.). Pour vous garantir une meilleure visibilité, ces derniers doivent absolument être optimisés pour les moteurs de recherche.

La mise en ligne du site internet

Avant que votre site n’ait été correctement réalisé, il est conseillé de le travailler sur une version « prod » (qui n’est pas accessible en ligne), ou de le bloquer derrière un accès par mot de passe.

Une fois le site prêt à être lancé, il ne faut jamais négliger l’étape de mise en ligne de votre site web. En effet, une fois un site internet disponible et fonctionnel, il reste essentiel de vous assurer de son bon fonctionnement :

  • Visitez la version mobile et la version bureau du site internet, pour vous assurer de son bon fonctionnement,
  • Testez le parcours utilisateur, et soyez à la recherche d’éventuelles erreurs ou de dysfonctionnements.
  • Essayez chaque fonctionnalité (création de compte utilisateur, achat en ligne, inscription, etc.) pour vous assurer qu’elles fonctionnent correctement.
  • Vérifiez que votre site web est bien indexable par les moteurs de recherche.

Mieux vaut vous assurer que le site web fonctionne avant de l’annoncer en fanfare à vos clients ! Cela vous évitera une déconvenue si tous les éléments du site internet ne fonctionnent pas comme prévu.

Vous pouvez consulter votre site depuis plusieurs navigateurs et plusieurs appareils pour vous assurer que tout apparait de manière lisible et que l’expérience utilisateur est assez agréable. N’hésitez pas à demander à d’autres personnes de consulter votre site et à vous envoyer des retours. Cela vous permettra d’améliorer votre site au fur et à mesure.

L’intérêt des spécialistes pour la conception d’un site web

Chaque étape de la création d’un site web est essentielle. Toutes ces étapes ne sont pas toujours évidentes à comprendre et à suivre, en particulier pour un public profane.

Dès lors, il est vivement conseillé de vous faire accompagner lors de la création d’un site web. Le recours à des experts pourra vous garantir une conception réalisée dans les règles de l’art, et qui vous assurera un site web optimisé, et conçu pour atteindre les objectifs visés.

En la matière, différents spécialistes peuvent vous accompagner dans la création d’un site web :

  • Une agence digitale, ou agence web, peut vous assurer la création d’un site web clé en main.
  • Un développeur web, peut prendre en charge la partie technique de la conception, et créer des solutions techniques sur-mesure.
  • Un graphiste ou développeur front-end peut prendre en charge la conception graphique et le design de votre site internet.
  • Une agence SEO ou un consultant SEO peut vous accompagner dans le référencement naturel de votre site internet.

Pour un accompagnement complet, le plus simple pourra être de faire appel à une agence digitale. Une agence se compose en effet d’une équipe d’experts spécialisés dans divers domaines : développement web, SEO, stratégie digitale, etc. Cette expertise garantit un site professionnel, esthétique et performant, adapté aux besoins spécifiques de votre entreprise.

En travaillant avec une agence, vous bénéficiez d’une approche sur mesure, où chaque élément, de la structure à l’expérience utilisateur, est optimisé pour atteindre vos objectifs. De plus, une agence digitale vous aide à économiser du temps et des ressources en prenant en charge toutes les étapes, de la conception au lancement, tout en respectant les délais convenus.

Elle garantit également que le site respecte les normes actuelles, comme la compatibilité mobile et le RGPD. Enfin, une agence propose souvent un accompagnement à long terme pour la maintenance, les mises à jour et l’évolution de votre site.

De plus en plus d’étudiants et de salariés recherchent une formation dans le digital. Il faut dire que la communication numérique et les outils digitaux sont devenus pratiquement incontournables sur le marché du travail. Mais comment choisir sa formation dans le digital ? Et quels sont les éléments à prendre en compte ? Voyons ensemble comment choisir une solution pour se former au numérique.

Pourquoi se former au digital ?

Se former au marketing digital ou aux métiers du digital est loin d’être une mauvaise idée, que vous soyez futur(e) étudiant(e) ou déjà salarié(e).

En effet, de plus en plus de métiers sont focalisés sur les usages numériques : développeur web, expert SEO, UX designer, etc. La plupart des métiers de bureaux exigent aujourd’hui une certaine connaissance ou expertise dans le numérique.

Ainsi, il existe différents intérêts à se former au numérique :

  • Rejoindre un secteur qui recrute : pour les jeunes bacheliers et étudiants, les métiers du numérique peuvent permettre de trouver un métier qui recrute, par exemple dans le développement web.
  • Se reconvertir dans le numérique : le digital peut également attirer les professionnels qui cherchent à changer de métier, ou à se spécialiser.
  • Développer une expertise complémentaire : pour les salariés en poste, il peut s’agir de maîtriser de nouveaux outils ou de nouvelles pratiques, afin de pouvoir améliorer leur prise en charge d’une mission, ou de pouvoir compléter leurs compétences.
  • Travailler pour ses propres projets : enfin, des compétences digitales peuvent être très utiles pour un entrepreneur, ou encore pour un salarié qui chercherait à créer des projets complémentaires sur son temps personnel (activité e-commerce, site internet, etc.).

Naturellement, il est important de suivre une formation dans le digital qui vous paraît cohérente avec vos aspirations. Le monde du numérique est vaste, et tous les métiers du digital ne se ressemblent pas.

Dès lors, il est important de voir le site d’une école ou d’une formation qui vous intéresse, afin de vous assurer de vous former à un métier qui vous plaira. Voyons justement ensemble les principales formations dans le digital.

Formation dans le digital : guide

Les métiers du digital sont particulièrement recherchés, et la plupart des métiers de bureau exigent aujourd’hui une certaine maîtrise des outils numériques.

Formation dans le digital : les principales filières

Avant même d’évoquer les solutions de formation, rappelons que les métiers du digital sont particulièrement nombreux.

La notion de « formation dans le numérique » a finalement peu de sens, car tous les professionnels du digital n’ont pas la même expertise, ni les mêmes formations.

Il paraît intéressant de diviser les principaux corps de métiers que l’on peut retrouver dans le digital :

  • Les métiers de la communication et du marketing : englobent tous les professionnels de la communication. Cela peut par exemple concerner des spécialistes des réseaux sociaux, des référenceurs web ou encore des chefs de projet digital. C’est un champ de formation suffisamment vaste pour donner accès à de nombreux métiers centrés autour de la communication.
  • Les métiers du design : vont s’intéresser spécifiquement au graphisme, à la création de sites web (spécifiquement du côté frontend), à la conception de contenus (vidéos, images, infographies, etc.) ainsi qu’à l’UX design. Ce sont des métiers un peu moins généralistes que les précédents, ce qui peut couper à certains métiers. Les amateurs de design auront souvent intérêt à se former également à la communication digitale ou au développement, pour avoir un profil plus attractif sur le marché de l’emploi.
  • Les métiers du développement : les métiers du développement intéresseront les profils les plus techniques. Cela englobe le côté « informatique » et la conception de programmes, d’applications et de sites web. Les développeurs sont souvent recherchés sur le marché de l’emploi, mais c’est une discipline qui exige une véritable expérience.

Notre premier conseil est d’avoir une certaine vision sur la typologie de métier qui vous intéresse. Devenir un développeur nécessitera une formation dédiée, qui sera bien différente de celle suivie par un futur UX designer ou par un chef de projet digital.

Pensez à consulter notre dossier sur les métiers du digital si vous cherchez à en savoir plus sur les principaux métiers et sur leur spécificité.

Les métiers du digital

Avant de chercher une formation, il est important d’avoir une certaine vision des métiers du digital. Un aspirant développeur web aurait ainsi peu d’intérêt à se former au marketing digital.

Formation dans le digital : laquelle choisir ?

Notre enjeu ici n’est pas de présenter telle ou telle école du digital, mais plutôt de vous présenter les principales voies qui s’offrent à vous si vous souhaitez vous lancer dans des études autour des métiers du numérique.

Voyons ensemble quelles sont les principales manières de se former au numérique :

Devenir étudiant dans le digital

Si vous êtes bachelier ou étudiant qui cherche à se former au numérique, il est intéressant de vous tourner vers des formations adaptées.

Il existe de multiples établissements supérieurs pour se former dans le numérique :

  • La formation universitaire : une licence informatique peut être un premier pas vers le développement. Une licence en communication doit permettre de se former (entre autres) au numérique et au marketing. Le DN Made (diplôme national des métiers d’art et du design) peut également former à des métiers du design digital). Les IAE peuvent également être une voie intéressante vers le numérique.
  • Les écoles privées : du côté des écoles privées, une école de commerce permettra de se former aux métiers du marketing numérique. Une école d’ingénieurs informatique permettra quant à elle de se former au volet technique. Il existe également différentes écoles de design graphique et de graphiste web (privilégiez alors un Master en UX/UI design, qui mêle des compétences de graphisme et de développeur web).

Nous attirons votre attention sur l’intérêt des formations professionnalisantes. Un élève apprendra souvent plus au cours de ses stages ou d’un apprentissage que durant sa formation initiale.

Au sortir de l’école, les expériences professionnelles seront une bonne manière pour un candidat de se démarquer au cours d’un entretien d’embauche.

De préférence, tournez-vous vers des écoles qui proposent des immersions en entreprise, plutôt que des cursus trop scolaires.

Faire ses études dans le digital

En dehors du cursus universitaire (qui doit vous donner les bases de votre formation), privilégiez des écoles ou organismes de formation tournés vers les entreprises. La réalisation de stages ou d’un apprentissage reste la meilleure manière d’obtenir des compétences professionnelles.

Se reconvertir dans le digital

On trouve de nombreux profils de salariés qui cherchent à se reconvertir dans le digital (ou à se former en parallèle de leur emploi).

En la matière, il existe de nombreux établissements pour se former au digital en reconversion :

  • Le bilan de compétence : en amont de toute formation, il peut être pertinent de suivre un bilan de compétence, pour identifier clairement les métiers du digital qui correspondent à vos compétences et à vos aspirations. Les demandeurs d’emploi peuvent parfois bénéficier d’aides financières pour réaliser un bilan de compétence ou se reconvertir.
  • La formation interne : si votre situation professionnelle le permet, il peut être intéressant de demander à recevoir de la formation en interne. Votre employeur actuel pourrait financer une formation ou vous intégrer à un autre service, pour vous permettre de développer les compétences recherchées.
  • Les formations certifiantes : de nombreuses écoles digitales proposent des formations courtes ou adaptées aux personnes salariées, en présentiel ou à distance. L’enjeu est de trouver une formation qui répond à vos besoins et à vos contraintes de temps.

En la matière, attentions aux chants des sirènes de la formation courte ! De nombreuses écoles promettent une formation en 6 mois ou moins. Elles ne sont pas forcément inintéressantes, mais ne garantiront en rien l’accès à l’emploi par la suite.

Un développeur web, par exemple, ne peut tout simplement par se former en 6 mois, et il ne faudra donc pas prétendre à la grille salariale d’un senior après une formation courte.

Comme pour tous les étudiants, privilégiez à tout prix les expériences professionnelles à la formation pure. En entretien d’embauche, on vous interrogera davantage sur les projets professionnels réalisés que sur votre formation.

Notre conseil : il est toujours intéressant de vous former vous-même, y compris en complément d’une formation initiale. N’hésitez donc pas à lire la partie suivante de cet article.

Se reconvertir dans le numérique

Si vous travaillez au sein d’une grande entreprise, il peut être intéressant de vous pencher sur la possibilité de suivre des formations en interne.

Se former soi-même au marketing digital

Il est bon de comprendre que les métiers du digital sont en évolution constante, et que même les professionnels aguerris doivent rester à l’affut des dernières pratiques.

Ainsi, se former soi-même aux métiers digitaux est une démarche particulièrement pertinente. On retrouve par ailleurs de nombreux spécialistes du numérique autodidactes (développeurs web, créateurs de contenu, spécialistes SEO, etc.).

Il existe différentes solutions pour se former au marketing digital sans passer par une école ou par une entreprise :

  • Les MOOCs : on parle de MOOCs pour désigner les « Massive Open Online Courses », à savoir les plateformes de formation ouvertes à un nombre illimité d’étudiants. Il s’agit souvent de plateformes de formation via des vidéos préenregistrées. C’est une excellente manière de se former, mais nous vous conseillons de privilégier absolument les formations à bas coût, car elles n’ont pas de valeur diplômante. La plateforme Udemy propose par exemple des formations pertinentes pour quelques dizaines d’euros chacune.
  • Les certifications professionnelles : il existe également différentes certifications professionnelles liées aux métiers du numérique, par exemple les certifications de Google ou de Hubspot. Certaines sont libres d’accès, et d’autres pourraient éventuellement être couvertes par votre employeur actuel.
  • YouTube et les réseaux sociaux : les métiers du digital sont très souvent largement évoqués en ligne, et on peut trouver de nombreuses chaînes YouTube et autres réseaux sociaux entièrement dédiés à la formation. Il est donc tout à fait possible de se former de manière gratuite, en suivant des chaînes dédiées aux sujets qui vous intéressent.

Notre meilleur conseil est de toujours travailler sur un projet personnel (site internet, blog perso, compte sur les réseaux sociaux, application mobile, etc.).

Que vous soyez étudiant(e), entrepreneur(e), à la recherche d’un emploi ou salarié(e), la meilleure manière de se former est de « mettre les mains dans le cambouis ».

Avoir votre projet vous aide ainsi à développer des compétences et à quitter le cadre purement académique de la formation.  Cela vous permettra par ailleurs d’ajouter une ligne à votre CV, qui peut faire la différence si vous avez peu d’expériences professionnelles.

Se former soi-même aux métiers du digital

On peut tout à fait se former seul(e) aux métiers du numérique. Mieux vaut alors réaliser un projet personnel, afin d’appliquer les compétences apprises grâce à des vidéos YouTube ou à de la formation en ligne.

Les critères de choix d’une formation digitale

Pour conclure sur le sujet, il nous paraissait intéressant de lister les principaux critères de choix d’une formation dans le digital.

Voici différents éléments à prendre en compte pour choisir une formation aux métiers du digital :

  • Le métier : il est pertinent d’avoir une certaine vision du métier que vous souhaitez exercer, pour identifier les formations digitales qui forment spécifiquement à ce métier.
  • La réputation : renseignez-vous systématiquement sur les avis en ligne à propos d’une formation. Ne vous contentez jamais des discours de l’école, mais cherchez les avis de ses anciens étudiants (voire contactez-les grâce à des réseaux comme LinkedIn). C’est la meilleure manière de vérifier si la formation est pertinente et si elle permet l’accès à l’emploi.
  • L’alternance : les jeunes profils auront tout intérêt à se tourner vers des formations en apprentissage. Attention néanmoins à ne pas négliger la difficulté de trouver une entreprise en apprentissage (en particulier pour les niveaux licence, qui ont peu d’expérience et intéressent donc moins les entreprises). À défaut d’apprentissage, privilégiez les formations qui vous permettent de réaliser un ou plusieurs stages, et donc d’accumuler de l’expérience professionnelle.
  • Le diplôme : si vous êtes étudiant(e), privilégiez absolument des diplômes reconnus par l’État. Si ce sont uniquement les compétences qui vous intéressent et non pas le diplôme, privilégiez des solutions MOOCs peu coûteuses ou de la formation gratuite.
  • Le coût : la question du prix est forcément essentielle quand on parle de formation. Idéalement, cherchez toujours des solutions qui peuvent se financer facilement (par exemple une formation en apprentissage). L’université ou l’IAE peuvent également être des manières de se former à coût maîtrisé. Si vous payez une école plusieurs milliers d’euros par an, assurez-vous de la qualité de sa formation et de sa réputation.
  • La durée d’apprentissage : bien évidemment, il est toujours utile de vous renseigner sur la durée de la formation (en particulier si vous êtes en reconversion). Si vous travaillez déjà, il peut être pertinent de tester en premier lieu de vous former vous-même, pour voir si cela vous aide à gagner en compétences, avant de chercher à suivre une formation.

Notre meilleur conseil est de toujours faire attention aux fausses promesses en matière de formation dans le digital !

Il est malheureusement fréquent de trouver des formations non diplômantes vendues à plusieurs milliers d’euros. N’oubliez jamais que le coût d’une formation ne reflète ni sa qualité ni les opportunités qu’elle apporte.

Méfiez-vous notamment des promesses trop belles pour être vraies (comme la garantie absolue de trouver un emploi en quelques semaines !).

Vous avez désormais une vision plus globale de la formation dans le digital. Il ne reste plus qu’à entamer vos propres recherches afin d’identifier les solutions précises qui peuvent vous permettre de vous former efficacement au métier qui vous intéresse.

Pour en savoir plus sur la communication digitale, n’hésitez pas à consulter notre guide complet sur le sujet.